Amis de longue date, Gordon Jennings, John Rahway, A.J. et les frères Attica vivent dans le luxe. Voitures de sport, costumes chic et femmes superbes : l’argent coule à flots. Leur secret ? Des braquages de banque ultra sophistiqués. Un seul par an, d’une extraordinaire audace et réglé dans les moindres détails.
Mais leur dernier exploit a précipité l’inspecteur Jack Welles à leurs trousses. Flic de la vieille école, il a tout sacrifié à son job – femme, enfant et vie privée – et il s’est juré de les coincer avant leur prochain coup.
C’est alors que Ghost, un ancien complice de la petite bande, refait surface après un séjour en prison et leur propose le casse du siècle, celui qui leur permettra de raccrocher définitivement…
Ils n’ont que cinq jours pour se préparer. Ils ignorent alors qu’ils vont se retrouver sur le chemin de la mafia russe. Ils ne savent pas que Jack Welles les serre de plus en plus près. Entre vieilles rivalités, trahisons, ennemis dans l’ombre et coups du sort, l’opération se complique sérieusement, d’autant que personne ne peut imaginer ce qui se prépare…
L’avis de Yanick « Wolverine » Ruf :
Le casse du siècle…
Voici un polar très musclé avec un casting de choc pour interpréter flics et gangsters. Malheureusement, une réalisation qui se veut très sophistiquée et qui finit par devenir lassante. Je m’explique : une fois de plus, le film est tourné caméra à l’épaule pour nous mettre dans le feu de l’action. Mais pas de chance, car c’est là qu’est le problème : tout virevolte à 200 à l’heure et cela devient flou et brouillon.
L’une des scènes clef est la poursuite dans un immeuble et sur les murs du sixième étage, avec des cascades yamakasiennes !! Incroyable ! Pas mal d’autres cascades et de multiples explosions excellemment bien réalisées se succèdent! Une suggestion, ne vous mettez donc pas trop prêt de l’écran pour pouvoir mieux en profiter. Dommage pour cette maladresse de tournage car le récit fait preuve d’une certaine originalité dans ce « casse ».