Pour fêter l’anniversaire d’une école, une cérémonie est organisée au cours de laquelle une capsule temporelle contenant des messages écrits par des enfants 50 ans auparavant est déterrée et ouverte. Chaque enfant emporte chez lui un message, mais celui du petit Caleb est illisible, car il s’agit d’une suite incohérente de chiffres.D’abord amusé, son père, statisticien, essaye de trouver une signification. Horrifié, il découvre peu à peu que chaque séquence de chiffres correspond à la date exacte d’une catastrophe récente. Lorsqu’il comprend que les 3 dernières séquences prophétisent des cataclysmes à venir, une course contre la montre commence.
L’avis de Yanick « Wolverine » Ruf : Voici le grand retour de Nicolas Cage dans une forme aussi… désespérée que d’habitude. Bon avec lui on est habitué, on pense toujours qu’il va se mettre à pleurer… Mais dans ce rôle, il excelle particulièrement et s’intègre ainsi parfaitement à son personnage dans le film. Réalisé par Alex Proyas (the crow, dark city, I robot), voici un film qui apparemment n’a pas de grandes prétentions. Pas de battage médiatique, juste quelques présentations télévisées de Nicolas Cage. On ne part donc pas forcement vainqueur avec ce film. Les autres acteurs semblent crédibles eux aussi, surtout les enfants pour lesquels les rôles sont loin d’être aisés.
Hallucinant !!
Après une première partie un chouillat longuette, mais nécessaire pour la mise en place de l’histoire et des personnages, on se prend littéralement une claque phénoménale vers le milieu du film ! Et là, tout s’enchaine : catastrophes assenées d’effets spéciaux dépassant de loin ce que l’on a pu voir ces derniers temps dans un film de ce genre. Et au final, un film qui multiplie les rebondissements et tient largement ses promesses. Que demander de plus ? Action, réflexion, émotion et science-fiction sont au rendez-vous pour nous faire frissonner, sans compter sur une ultime scène ahurissante. Bref, vous l’aurez compris, c’est LE film qu’il faut voir en ce moment. Comme quoi, il ne faut jamais se fier aux apparences et pousser parfois la porte d’une salle, on risque de découvrir une pure merveille. Dommage que l’on n’en voie pas plus souvent de cette qualité…
