Le Luxembourg City Film Festival 2017 aura lieu du 2 au 12 mars 2017 à Luxembourg Ville, à la CINÉMATHÈQUE DE LA VILLE DE LUXEMBOURG, au CINÉ UTOPIA, à UTOPOLIS KIRCHBERG, au QUARTIER GÉNÉRAL (Place de la Constitution), au CERCLE CITÉ et dans de nombreuses institutions culturelles partenaires à Luxembourg.
DES PREMIÈRES TRÈS EXCLUSIVES À UTOPOLIS KIRCHBERG
Conduire le grand public vers le cinéma d’auteur, offrir aux cinéphiles de grands castings… Une double ambition pour cette catégorie AVANT-PREMIERES UTOPOLIS qui fera son apparition avec cette édition 2017. À commencer par les moments-clés du festival. En ouverture (2 mars) : DENIAL (Mick Jackson, USA). L’histoire vraie du procès de Deborah E. Lipstadt (incarnée par Rachel Weisz), accusée de diffamation par le négationniste David Irving. La cérémonie de remise de prix (10 mars) profitera, elle, de l’énergie communicative du film retenu en ouverture officielle de l’actuelle Berlinale : DJANGO (Étienne Comar, France). Un formidable biopic de la légende du jazz manouche Django Reinhardt (joué par Reda Kateb). Chaque année, votre festival vous a offert des œuvres très exclusives. Le film de clôture (12 mars) mettra cette fois la barre encore plus haut. Ryan Gosling, Michael Fassbender, Nathalie Portman, Cate Blanchett… si Terrence Malick nous a habitué à des castings d’exception celui de SONG TO SONG dépasse toutes les références connues. Ce film-événement qui fera sa World Premiere en ouverture du prestigieux South By Southwest à Austin le 10 mars prochain sera, deux jours plus tard seulement, au Luxembourg pour y vivre sa Première Internationale. Les fans de Matthew McConaughey se réjouiront, eux, de le retrouver dans GOLD (Stephen Gahan, USA), un long-métrage balançant entre le biopic, le film d’aventure et la success-story. Parce que le cinéma a toujours été un reflet de la société, 2017 sera indéniablement politique et militant. Témoin ce MISS SLOANE (John Madden, USA) dans lequel Jessica Chastain fait face au lobby des armes à feu.
FICTION : UNE COMPÉTITION TRÈS ÉQUILIBRÉE
Des réalisateurs reconnus et des premiers films, de l’horreur et du sentiment, cette année plus encore le Comité artistique a tenté le difficile pari de l’équilibre. Dix films que nous présenterons alphabétiquement pour ne pas favoriser d’œuvres en compétition officielle. / DARK NIGHT (Tim Sutton, USA) pourrait, de prime abord, faire penser à ELEPHANT. Un drame (la tuerie au cinéma d’Aurora en 2012), une narration segmentée… mais le parallèle s’arrête là. Hypnotique, documentariste parfois, ce film singulier met en lumière le malaise d’une certaine jeunesse américaine visiblement en panne de repères. / GLORY (Kristina Grozeva, Petar Valchanov, Bulgarie) nous permettra de retrouver les auteurs de THE LESSON, film victorieux au Luxembourg en 2015. Comment détourner l’attention de l’opinion publique d’une affaire de politiciens corrompus ? En Bulgarie, on fabrique des héros. En l’occurrence le cheminot Tsanko Petrov, qui va vite regretter d’avoir remis aux autorités un véritable trésor. / À Toronto, la légende dit que les secours ont dû aider deux personnes victimes de malaises durant la projection. GRAVE (Julia Ducournau, France/ Belgique) est un film qui marque, au point de remporter la semaine dernière le Grand Prix au festival du film fantastique de Gérardmer (France). L’histoire d’une végétarienne obligée de manger de la viande dans le cadre d’un bizutage et qui va se découvrir de très voraces instincts. Un film choc à réserver aux spectateurs avertis. / Si les séquelles de la guerre civile en Géorgie sont au cœur de HOUSE OF OTHERS (Rusudan Glurjidze, Géorgie), c’est surtout par son humanité, sa mise en scène et son interprétation que ce film se distingue. Un formidable plaidoyer anti-guerre aux questionnements très contemporains. / I AM NOT MADAME BOVARY (Feng Xiaogang, Chine) n’est rien de moins que LE phénomène chinois de l’année. Derrière le burlesque (une affaire de faux-divorce où il faudrait se remarier pour pouvoir mieux divorcer) et un fort parti-pris visuel (une image circulaire) la critique d’une certaine bureaucratie y est particulièrement sévère. / Mylène Mackay – qui sera parmi nous lors de la projection du film – est stupéfiante dans son incarnation de NELLY (Anne Emond, Canada), film canadien inspiré de la vie et de l’œuvre de Nelly Arcan, auteur à succès et escort girl. / SAMI BLOOD (Amanda Kernell, Suède) s’intéresse aux Lapons, peuple autochtone ayant subi, comme d’autres, de sévères discriminations. Gardienne de rennes, Elle Marja, devra ainsi choisir entre respecter la tradition et se fondre dans la société suédoise. / Charlie Hunnam, Sienna Miller, Tom Holland, Robert Pattinson… avec THE LOST CITY OF Z (USA) James Gray a sorti l’artillerie lourde. Il n’en fallait pas moins pour narrer l’histoire vraie de Percy Fawcett, scientifique-aventurier raillé par sa communauté dont on perdra la trace au cœur de l’Amazonie. / Un grand réalisateur pouvant en cacher un autre Aki Kaurismäki sera également, de manière tout aussi exclusive, de la compétition. THE OTHER SIDE OF HOPE (Aki Kaurismäki, Finlande) ou la rencontre fortuite d’un réfugié syrien et d’un finlandais accroc au poker. Un choc des cultures pour évoquer, avec élégance et force, les questions migratoires qui traversent notre époque. / Et pour fermer le ban un film sur l’Amérique de Trump. TRANSPECOS (Greg Kwedar, USA) se joue sur cet espace où l’on projette de construire des murs. Un thriller ocre, tout en tension, où chaque personnage est complexe, où la notion de bien et de mal est aussi volatile que les tempêtes de sable qui envahissent l’écran.
DU CÔTE DU DOCUMENTAIRE
Chaque année l’offre dépasse de très loin – en matière de documentaire – nos capacités d’accueil. 2017 n’échappe pas à la règle, sept films seulement ayant survécus au difficile exercice de hiérarchisation. FOREVER PURE (Maya Zinshtein, Israël) raconte comment du recrutement de deux joueurs tchétchènes musulmans dans la très conservatrice équipe du Beitar Jerusalem F.C., nous sommes arrivés à la plus effrayante campagne raciste du sport israélien. / I AM NOT YOUR NEGRO (Raoul Peck, France, USA) est, sans conteste, l’un des documentaires les plus attendus de l’année. Raoul Peck y réussit l’exploit de magnifier et organiser les concepts de Malcolm X, Martin Luther King Jr. et Medgar Evers (pour ne citer qu’eux), s’appuyant sur la narration efficace de Samuel L. Jackson, elle-même basée sur les écrits de James Baldwin, pour montrer comment l’image (et la réalité) de la communauté noire américaine sont aujourd’hui façonnées et imposées. / MACHINES (Rahul Jain, Inde), film récompensé à Sundance pour sa formidable photographie, est une plongée dans les abysses d’une industrie où l’homme n’est plus qu’un infime rouage au regard des dimensions de l’outil. / Baltimore héberge, comme la plupart des grandes villes, des colonies inimaginables de rats. RAT FILM (Theo Anthony, USA) passe au crible cette relation de l’humain à l’un des animaux parmi les plus décriés. / Et si la plus belle leçon de géopolitique du moment nous venait d’un facteur bulgare qui, pour sauver son petit village mourant, propose de sédentariser les masses de réfugiés syriens passant sous ses fenêtres ? Sous ses allures de fable débordante d’humanité THE GOOD POSTMAN (Tonislav Hristov, Bulgarie) n’est pourtant pas une fiction. / L’expérience veut que les scènes d’horreur fassent se croiser le pire et le meilleur. Du courage des victimes à la folie d’un meurtrier, TOWER relate – avec la force et la distanciation que confère l’animation – ces événements d’août 1966, lorsqu’un tireur s’est rendu au dernier étage de la tour de l’Université du Texas pour y commettre un carnage. / En 2013 « 5 Stelle », mouvement populiste italien, obtenait 25% des voix. Un cataclysme politique en pointe d’une vague de fond européenne qui a le mérite de disséquer une question essentielle : que se passe-t-il quand ces aspirations à une révolution populaire se retrouvent en position de décider ?
TUTTI A CASA – POWER TO THE PEOPLE? (Lise Birk Pedersen, Danemark), un documentaire danois signé Lise Birk Pedersen qui prouve, une fois de plus, que l’analyse documentaire a souvent une longueur d’avance sur l’actualité.
DE RAY LIOTTA À DOUGLAS KENNEDY : DES INVITÉS PRESTIGIEUX.
Inoubliable dans LES AFFRANCHIS, HANNIBAL ou SECRETS d’ETAT, RAY LIOTTA fait partie des monstres sacrés du cinéma US. Nous lui réserverons un hommage le 5 mars (Utopolis Kirchberg) et le découvrirons dans la foulée à l’affiche de STICKY NOTES (Amanda Sharp, USA) avant de le retrouver le lendemain pour une Master class (Cinémathèque) animée par Boyd van Hoeij (The Hollywood Reporter). Auteur à succès l’écrivain américain DOUGLAS KENNEDY (Cul de sac, La poursuite du bonheur…) nous fera également l’honneur de sa présence. Au cours de son passage il se prêtera à une rencontre-dédicace au Quartier Général et évoquera les liens entre écriture et cinéma en introduisant une séance hommage à la Cinémathèque : DOUBLE INDEMNITY (Billy Wilder, 1944).
UN MADE IN / WITH LUXEMBOURG TRÈS FESTIVALIER
Entre le BARRAGE de Laura Schroeder, film luxembourgeois (Red Lion) présenté en section FORUM à Berlin, la coproduction Samsa Film ES WAR EINMAL IN DEUTSCHLAND… de Sam Garbarski présenté en gala de cette même Berlinale et le MAPPAMUNDI de Bady Minck (Amour Fou) retenu par le Sundance film festival, les couleurs nationales auront volé très haut dans les dernières semaines. Tous convergeront de leurs folles épopées vers le Luxembourg pour une série d’avant-premières qui, une fois de plus, devraient réunir l’essentiel de la profession. Au titre des réjouissances notons la présence au line-up du drame historique A REAL VERMEER (coproduction Tarantula), du questionnement familial coproduit par Amour Four DIE NACHT DER 1000 STUNDEN (Virgil Widrich), d’ETHEL & ERNEST (lire par ailleurs)… Sans oublier les œuvres jeune public déjà annoncées dont RICHARD THE STORK et STORM (voir programmation jeune public). Cette année la soirée courts-métrages s’articulera autour des œuvres suivantes : 818 (Claude Lahr), Ce qu’il reste de toi (Kevin Dresse), Chernobyl (Franco Dipietro), Fils (Cyrus Neshvad), Sur le Fil (Thierry Besseling, Loïc Tanson), The Past We Live In (Jérôme Weber).
MAIS AUSSI DES SÉANCES SPÉCIALES…
Dans la catégorie HORS COMPETITION la Cinémathèque et Ciné Utopia ne seront pas en reste. Tout anglo-saxon se doit de connaître l’œuvre de Raymond Briggs. Roger Mainwood a mis en mouvement – avec le concours de Studio 352 et Mélusine Productions – ce monument de l’illustration qu’est ETHEL & ERNEST. Vous aviez aimé HIGH RISE l’an dernier, vous adorerez FREE FIRE. Un nouveau Ben Wheatley aux allures de thriller pour un crescendo infernal. HOMO SAPIENS (Nikolaus Geyrhalter) s’inscrit dans la lignée des expérimentations sensorielles présentées dans nos précédentes éditions (LEVIATHAN, MANAKAMANA…). De Fukushima à Nagasaki l’auteur a posé sa caméra dans des lieux désertés par les hommes pour un résultat envoûtant. À l’autre bout du spectre HOUNDS OF LOVE (Ben Young) vous plongera dans le cauchemar d’une adolescente aux prises avec un couple de serial-killers. Nous aurons également l’honneur de recevoir Arnaud des Pallières pour la présentation d’ORPHELINE, film qui connait une impressionnante trajectoire festivalière. PORTO (Gabe Klinger) s’appuie sur une photographie extrêmement soignée et le cadre unique de la ville éponyme pour faire remonter à la surface les souvenirs d’un couple séparé. THE AGE OF SHADOWS (Kim Jee-Woon) fait partie des phénomènes coréens de l’année. Un impressionnant « mind game » au cœur de la période d’occupation de la Corée par le Japon. Nous retrouverons Rooney Mara à l’affiche de UNA (Benedict Andrews), dont la confrontation (des années après) avec son violeur s’avèrera des plus complexes.
…ET DES CARTES BLANCHES.
ARCHIDUC : le magazine a fait de THE HUMAN SCALE, documentaire danois d’Andreas Dalsgaard, le cœur d’un événement où seront abordés la relation entre l’homme et son habitat dans les grands ensembles. ORANGE proposera à ses invités MONSIEUR & MADAME ADELMAN, une comédie de Nicolas Bedos coproduite par Orange Studio retraçant cinquante ans de vie commune. La BGL BNP PARIBAS aura le privilège d’accueillir la première luxembourgeoise de TELLE MÈRE, TELLE FILLE, une comédie inédite de Noémie Saglio plongeant Juliette Binoche et Camille Cottin dans une fusionnelle relation mère-fille. Les NATIONS UNIES et leur label CINE UNO feront leur grand retour avec la projection de LES SAUTEURS, un documentaire danois qui s’intéresse à ces migrants aux prises avec les immenses barrières installées à Melilla, une enclave espagnole entre l’Afrique et l’Europe. Le film sera précédé du court-métrage DEM DEM ! de Pape Bouname Lopy, Marc Recchia, Christophe Rolin (soutenu par le programme le fonds stART-up de l’Œuvre Nationale de Secours Grande-Duchesse Charlotte) et suivi d’une table ronde.
QUARTIER GÉNÉRAL
Le festival retrouvera son Quartier Général sous chapiteau (Place de la Constitution, au pied de la Gëlle Fra). Accessible dès le 1er mars, il ouvrira ses portes à tous pour des rencontres publiques et professionnelles (Picnic with pro, 10 ways to approach digital marketing in today’s film industry et Brunch de l’animation -en collaboration avec la FMAIV- le 5 mars), des ateliers jeune public et la présentation d’un dessin animé (Club des Gribouilleurs : les marathoniens de l’animation), une séance littéraire (avec DOUGLAS KENNEDY le 7 mars), un livre (Utopia, une passion pour le 7è Art, du Ciné-club 80 au groupe Utopia le 4 mars), des master class (L’Esthétisme des films -Avec Espera Productions- le 4 mars -, Work in progress Croc Blanc le 5 mars -avec Bidibul productions-, le cinéma d’animation, vecteur indispensable d’éducation culturelle et sociale -avec Studio 352- le 5 mars…), le traditionnel openscreen (9 mars), des soirées festives (Urban Night le 3 mars, Work hard play hard -sur initiative conjointe LARS, ALTA, ACTORS.LU– le 4 mars, Short films after party le 6 mars, Volunteers party le 10 mars, Luxembourg Video Clip Awards -by Rockhal- le 11 mars… Un programme d’une grande intensité à découvrir dans son intégralité sur nos supports officiels.
LES JURYS
Toujours sujets à modifications et nouvelles confirmations, ils sont pour l’heure constitués comme suit :
JURY INTERNATIONAL : Dominique BESNEHARD (Producteur et acteur, France), Christophe WAGNER (Réalisateur, Luxembourg), Hande KODJA (Comédienne, Belgique), Faouzi BENSAIDI (Réalisateur, scénariste et comédien, Maroc), Santiago AMIGORENA (Réalisateur, scénariste et producteur, Chili et France), Monia CHOKRI (Comédienne et Réalisatrice, Canada)
JURY DOCUMENTAIRE : Jérôme LASSERRE (Head of films department, France), Arnaud LAMBERT (Critique et Réalisateur, France), Mathias THERY (Réalisateur, France), Vladimir KOKH (Producteur et Distributeur, France)
JURY PRESSE (constitué par l’Association Luxembourgeoise de la Presse Cinématographique) : Isabelle DEBUCHY, Thibaut DEMEYER, Jean-Pierre THILGES et Raul REIS.
HORS-LES-MURS
« Un étrange week-end dans le désert », c’est la promesse portée par THE CHALLENGE, un documentaire de l’artiste et réalisateur Yuri Ancarani que le Casino Luxembourg – Forum d’Art Contemporain présentera le 6 mars au Ciné Utopia. Récemment disparu, l’écrivain, cinéaste, artiste, essayiste et grand voyageur CHRIS MARKER a laissé une profonde empreinte dans son époque. Le documentaire de Jean-Marie Barbe et Arnaud Lambert CHRIS MARKER, NEVER EXPLAIN, NEVER COMPLAIN analyse son œuvre. Une projection au Ciné Utopia labellisée MUDAM à prolonger au musée pour un cinémix de Christophe Hanesse (8 mars, 18h30). Le MUDAM proposera également, le 10 mars, 19h, un étonnant documentaire consacré à l’itinéraire atypique de l’audacieux et insaisissable artiste Maurizio Cattelan (BE RIGHT BACK, Maura Axelrod). NO LAND’S SONG (Ayat Najafi) suit la jeune compositrice Sara Najafi, décidée à braver censure et tabous pour tenter d’organiser un concert de chanteuses solo en Iran. Ce documentaire projeté à NEIMËNSTER (12 mars, 18h) sera suivi d’un concert (line-up TBA). La bande sonore iconique du film « Troublemaker » (Andy Bausch) sera réinventée et jouée en live par Sh’napan, le nouveau projet downtempo et hip hop instrumental de Charles Nilles, via l’événement TROUBLE(RE)MAKER. Un ciné-live signé ROTONDES, en partenariat avec la Sacem Luxembourg (3 mars, 20h30).
UN PAVILLON RÉALITE VIRTUELLE, DES ŒUVRES ET INVITÉS DU MONDE ENTIER.
Initié par la société A-Bahn, soutenu par le Film Fund Luxembourg et Digital Luxembourg ce pavillon installé sous la verrière du Casino Luxembourg s’inscrit dans la continuité de l’initiation proposée l’an dernier. Mais cette année la dimension sera toute autre. Du 1er au 12 mars une programmation centrée sur l’action militante permettra de découvrir gratuitement une douzaine d’œuvres via différents dispositifs (Orange VR-1/Samsung, Oculus Rift, HTC Vive). Le 1er mars l’ouverture se fera en présence du Premier Ministre Xavier Bettel, du Président du think tank UNI-VR Frédéric Josué et de la Directrice du Centre Phi de Montréal Myriam Achard. Le 9 mars une conférence s’intéressant au pouvoir d’empathie et d’action de la VR sera conduit par Mandy Rose (Université de Bristol), Sandra Rodriguez (Professeur au MIT), Thomas Hecquet (Animal Equality – iAnimal, Stuttgart), Jeremy Sahel (CEO, DA PROD, Paris), Cody Karutz (Réalisateur de The Crystal Reef, Los Angeles), Darren Emerson (Réalisateur de Indefinite et Witness 360, Londres)…. Le lendemain un LUNCH BREAK permettra de rencontrer ces invités, mais aussi les auteurs madrilènes de Fukushima Cristian Domingez Rein-Loring et Carlos de Vega, Madeline Power (Across the line, USA), Thomas Hecquet (Animal Equality – iAnimal, Stuttgart) et Ruta Boguzaite (Wide Management, Paris). Ne manquez pas, enfin, la conférence du 11 mars (14h30) durant laquelle Julie Bergeron (Festival de Cannes), Fred Baus (Realab, Luxembourg), Olivier Pesch (producteur, réalisateur, Luxembourg) et Morgan Bouchet (Groupe Orange, Paris) se réuniront autour des questions de financement et de promotion des créations en réalité virtuelle. Environnement, droits de l’Homme, condition animale… un pavillon pour repenser le monde au travers d’un outil.
DU CÔTÉ DU RATSKELLER
Le Ratskeller au Cercle Cité vous accueille, jusqu’au 12 mars 2017, à l’exposition « WELCOME TO WES’ » et vous propose 10 clés de compréhension et autant de portes d’entrée vers l’univers du fantastique Wes Anderson.
Le site officiel du festival :
Affiche LCFF (c) Benjamin Béchet, Picturetank Studio Michel Welfringer