Après s’être fait connaître dans les années 60 par la série Flipper, l’ex-dresseur de dauphins Ric O’Barry est aujourd’hui un défenseur acharné des cétacés. A Taiji, au Japon, il se mobilise contre le massacre de plusieurs milliers de dauphins par an, perpétré à l’abri des regards.
Avec l’équipe de l’Oceanic Preservation Society, O’Barry entreprend de révéler la vérité sur Taiji au monde entier. Malgré l’hostilité de la police locale et des pêcheurs, O’Barry et ses complices réunissent une équipe de choc : cadreurs et preneurs de sons sous-marins, spécialistes d’effets spéciaux, océanographes et plongeurs en apnée réputés se lancent dans une opération secrète destinée à rapporter des images de la petite baie isolée…
Documentaire en sélection au festival du film américain de Deauville 2009
Avis de Stéphane :
The cove est le type de documentaire qui touche très rapidement le spectateur. Le réalisateur attend pourtant les dernières minutes pour nous montrer ces images que l’on redoute depuis le début.
En effet, Louie Psihoyos nous entraîne au fur et à mesure dans son récit en nous montrant comment l’ancien dresseur de Flipper le dauphin Richard O’Barry a fait pour dévoiler le massacre qui a lieu chaque année à la crique de Taiji au Japon. Richard essaie de corriger l’erreur qu’il avait commise en mettant en avant les dauphins et leur intelligence avec la série Flipper. Il avait en effet mis 10 ans à comprendre son erreur ; celle que le dauphin ne doit pas être capturé et ne doit pas être dressé car c’est contre sa nature. Il doit en effet vivre libre parmi ses congénères. Il l’a compris lorsque le dauphin Kathy (la principale « interprète » de Flipper) est morte dans ses bras. Maintenant cela fait 30 ans qu’il tente de réparer son erreur de jeunesse…
Les moyens mis en œuvre pour cette enquête n’a rien à envier aux films d’espionnage. C’est d’ailleurs la société ILM bien connu des amateurs d’effets spéciaux qui a conçu les faux rochers permettant d’abriter les caméras afin de filmer en toute discrétion les méfaits de ces pêcheurs japonais.
D’ailleurs, le Japon est montré ici dans une version moins idyllique que celle que nous connaissons tous. Ici nous sommes loin de l’ambiance zen des temples … C’est la cupidité de l’homme qui entraîne ces actes barbares d’un autre âge … Les dauphins capturés se retrouvent pour les plus « chanceux » envoyés dans les seaquarium (parc marin du monde entier) tandis que les autres se font massacrer pour ensuite se retrouver en morceaux afin d’être vendus pour que l’homme puisse se nourrir et surtout gagner beaucoup d’argent. Mais ces agissements détruisent aussi la santé de la population car le dauphin possède une haute teneur en mercure due à la pollution, ce qui a pour effet d’engendrer des malformations aux nouveaux nés humains !
Le dauphin est intelligent et voir certaines images est très difficile. Il est impossible de rester insensible à ce documentaire et les larmes viendront d’elles- même couler sur vos joues. Pourtant à la fin, un lueur d’espoir apparaîtra et donnera au spectateur l’envie d’applaudir Monsieur Richard O’Barry.
Si vous aviez l’intention de vous rendre dans un parc de type SeaWorld, après avoir vu The cove, vous y réfléchirez à deux fois… Le réalisateur veut seulement que le spectateur soit conscient de ses actes et puissent agir en fonction de sa conscience …
The cove est le type de documentaire qui touche très rapidement le spectateur. Le réalisateur attend pourtant les dernières minutes pour nous montrer ces images que l’on redoute depuis le début.
En effet, Louie Psihoyos nous entraîne au fur et à mesure dans son récit en nous montrant comment l’ancien dresseur de Flipper le dauphin Richard O’Barry a fait pour dévoiler le massacre qui a lieu chaque année à la crique de Taiji au Japon. Richard essaie de corriger l’erreur qu’il avait commise en mettant en avant les dauphins et leur intelligence avec la série Flipper. Il avait en effet mis 10 ans à comprendre son erreur ; celle que le dauphin ne doit pas être capturé et ne doit pas être dressé car c’est contre sa nature. Il doit en effet vivre libre parmi ses congénères. Il l’a compris lorsque le dauphin Kathy (la principale « interprète » de Flipper) est morte dans ses bras. Maintenant cela fait 30 ans qu’il tente de réparer son erreur de jeunesse…
Les moyens mis en œuvre pour cette enquête n’a rien à envier aux films d’espionnage. C’est d’ailleurs la société ILM bien connu des amateurs d’effets spéciaux qui a conçu les faux rochers permettant d’abriter les caméras afin de filmer en toute discrétion les méfaits de ces pêcheurs japonais.
D’ailleurs, le Japon est montré ici dans une version moins idyllique que celle que nous connaissons tous. Ici nous sommes loin de l’ambiance zen des temples … C’est la cupidité de l’homme qui entraîne ces actes barbares d’un autre âge … Les dauphins capturés se retrouvent pour les plus « chanceux » envoyés dans les seaquarium (parc marin du monde entier) tandis que les autres se font massacrer pour ensuite se retrouver en morceaux afin d’être vendus pour que l’homme puisse se nourrir et surtout gagner beaucoup d’argent. Mais ces agissements détruisent aussi la santé de la population car le dauphin possède une haute teneur en mercure due à la pollution, ce qui a pour effet d’engendrer des malformations aux nouveaux nés humains !
Le dauphin est intelligent et voir certaines images est très difficile.
Il est impossible de rester insensible à ce documentaire et les larmes viendront d’elles- même couler sur vos joues.
Pourtant à la fin, un lueur d’espoir apparaîtra et donnera au spectateur l’envie d’applaudir Monsieur Richard O’Barry.
Si vous aviez l’intention de vous rendre dans un parc de type SeaWorld, après avoir vu The cove, vous y réfléchirez à deux fois…
Le réalisateur veut seulement que le spectateur soit conscient de ses actes et puissent agir en fonction de sa conscience …